🌛 On Y Met La Nourriture Du Betail

Vertalingenvan het uitdrukking LA NOURRITURE DU BÉTAIL van frans naar nederlands en voorbeelden van het gebruik van "LA NOURRITURE DU BÉTAIL" in een zin met hun vertalingen: de poudre dans la nourriture du bĂ©tail .. frans. nederlands. Vertalen. Nederlands. Français English Dansk Deutsch Español Italiano Svenska ŰčŰ±ŰšÙ‰ БългарсĐșĐž àŠŹàŠŸàŠ‚àŠČàŠŸ ČeskĂœ Lesmeilleures offres pour Grande Huilerie Bordelaise - nourriture du bĂ©tail sont sur eBay Comparez les prix et les spĂ©cificitĂ©s des produits neufs CĂ©realesen grains, Alimentation pour BĂ©tail. « Souss CĂ©rĂ©ales » est une entreprise marocaine basĂ©e Ă  Agadir, au Maroc. Nous sommes spĂ©cialisĂ©s dans l'importation de produits cĂ©rĂ©aliers et aliments pour bĂ©tail. Nos produits de haute qualitĂ© sont distribuĂ©s Ă  nos clients partout dans le Maroc Ă  des prix compĂ©titifs.. Lisez plus. OnY Met La Nourriture Du BĂ©tail Solution. RĂ©ponses mises Ă  jour et vĂ©rifiĂ©es pour le niveau CodyCross Cirque Groupe 82. Solution. On y met la nourriture du bĂ©tail Solution . M A N G E O I R E. Actrice Française Ayant Pour Nom Lamy. Teindre Des Cheveux FoncĂ©s En Blonds . CodyCross Cirque Groupe 82. Toutes les rĂ©ponses Ă  CodyCross Cirque . DĂ©finition Solution; Lessolutions pour la dĂ©finition NOURRITURE DU BÉTAIL EN PÂTURAGE pour des mots croisĂ©s ou mots flĂ©chĂ©s, ainsi que des synonymes existants. Aide mots flĂ©chĂ©s et mots croisĂ©s. Un total de 21 rĂ©sultats a Ă©tĂ© affichĂ©. Nourriture du bĂ©tail : dĂ©finitions pour mots croisĂ©s. Menu . TOU LINK SRLS Capitale 2000 euro, CF 02484300997, P.IVA 02484300997, REA GE - Vertalingenvan het uitdrukking LA NOURRITURE DU van frans naar nederlands en voorbeelden van het gebruik van "LA NOURRITURE DU" in een zin met hun vertalingen: Je mange la nourriture du futur.. verdu bĂ©tail et pour cultiver des cĂ©rĂ©ales destinĂ©es Ă  sa nourriture. Ces chiffres correspondent Ă  la moyenne mondiale. 5 Aux Etats-Unis 230000 km 2 sont nĂ©-cessaires Ă  la production de fourrage pour les animaux de rente, alors que seulement 16000 km 2 (=7%) le sont pour produire des aliments vĂ©gĂ©taux. 6 Le gaspillage considĂ©rable des sols pour la production de viande Psaumes147:9 dans ces versions de la Bible : Louis Segond 1910, Louis Segond + Strongs, Louis Segond + Dictionnaire, Louis Segond + Atlas, Nouvelle Bible Segond, Segond 21, Nouvelle Ă©dition de GenĂšve, Segond 1978 dite « Ă  la Colombe », Bible AnnotĂ©e, Semeur, SBL Greek New Testament, Traduction ƓcumĂ©nique de la Bible, Bible de JĂ©rusalem, Biblia Hebraica Trouverla Nourriture pour bĂ©tail photo idĂ©ale Une vaste collection, un choix incroyable, plus de 100 millions d’images LD et DG abordables de haute qualitĂ©. Pas besoin de vous inscrire, achetez dĂšs maintenant ! CBPD. journal article FOURRAGES ET BOVINS DANS L'ÉCONOMIE RURALE DE LA RESTAURATION L'exemple du dĂ©partement du RhĂŽne Revue d'histoire Ă©conomique et sociale Vol. 38, No. 1 1960, pp. 77-97 21 pages Published By Armand Colin Read and download Log in through your school or library Read Online Free relies on page scans, which are not currently available to screen readers. To access this article, please contact JSTOR User Support. We'll provide a PDF copy for your screen reader. With a personal account, you can read up to 100 articles each month for free. Get Started Already have an account? 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Accessibles, elles proposent une analyse des questions de sociĂ©tĂ© et d'actualitĂ©, notamment au travers des collections Individu et SociĂ©tĂ© ou ElĂ©ments de rĂ©ponse. Rights & Usage This item is part of a JSTOR Collection. For terms and use, please refer to our Terms and Conditions Revue d'histoire Ă©conomique et sociale © 1960 Armand Colin Request Permissions Depuis quelques annĂ©es, les magnats de la technologie numĂ©rique et du techno-capitalisme Google, Facebook, Amazon ou encore Microsoft, pour ne pas les citer se sont lancĂ©s dans le domaine de l’alimentation. Les cinq plus grandes multinationales de l’agrochimie alimentaire contrĂŽlent plus de la moitiĂ© du marchĂ© mondial, allant Ă  l’encontre des petits agriculteurs du monde entier, qui ont toujours dĂ©montrĂ© leur engagement en faveur de l’environnementalisme fondamental, des questions Ă©cologiques et de la prĂ©servation des Ă©cosystĂšmes. Ces agriculteurs sont tout Ă  fait conscients que la plupart des Ă©missions de gaz Ă  effet de serre sont causĂ©es par l’Agrobusiness, alimentĂ© par Mark Zuckerberg, Elon Musk et Bill Gates, ce dernier Ă©tant le plus grand propriĂ©taire de terres agricoles des États Unis. Ils sont tous de plus en plus Ă©pris par le secteur de la nourriture synthĂ©tique une opĂ©ration de greenwashing pour distraire l’opinion publique en exposant de fausses solutions Ă  la crise climatique et en dissimulant les vĂ©ritables causes. Nous en parlons avec Antonio Lupo, mĂ©decin, membre du ComitĂ© Amigos Sem Terra Italia et environnementaliste qui travaille depuis de longues annĂ©es aux cĂŽtĂ©s du Mouvement Sem Terra au BrĂ©sil et du Mouvement La Via Campesina, une des plus grandes associations paysannes et environnementalistes de l’hĂ©misphĂšre sud qui compte plus de 200 millions de paysans parmi ses membres. Pourquoi les magnats des technologies numĂ©riques et en ligne Google, Facebook, Amazon, Microsoft se sont emparĂ©s du secteur de l’alimentation ces derniĂšres annĂ©es ? La premiĂšre rĂ©volution verte » eut lieu en 1944, lorsque la Fondation Rockefeller crĂ©a un Institut pour accroĂźtre la productivitĂ© agricole des exploitations mexicaines, avant de s’élargir au monde entier jusque dans les annĂ©es 1970. Le terme de rĂ©volution verte » dĂ©signe un ensemble d’innovations dans la production agricole avec l’utilisation de variĂ©tĂ©s vĂ©gĂ©tales gĂ©nĂ©tiquement sĂ©lectionnĂ©es, d’engrais, de pesticides, d’eau et d’autres moyens techniques et mĂ©caniques. La mise en place de cette Agriculture Industrielle, autrement dit l’Agrobusiness, a en outre exclu des millions de paysans du travail dans les campagnes aujourd’hui, les paysans des pays occidentaux reprĂ©sentent entre 2 et 3 % de la population. La deuxiĂšme rĂ©volution verte » a dĂ©butĂ© dans les annĂ©es 1980, toujours dans le but d’augmenter les rendements et la production alimentaire mondiale, via l’utilisation d’organismes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s OGM mais aussi de cultures hydroponiques. Ainsi, le premier OGM fut rĂ©alisĂ© en 1973 par deux chercheurs amĂ©ricains, le premier produit OGM commercialisĂ© fut l’insuline en 1981 et les premiĂšres plantes transgĂ©niques Ă  partir de 1983. Ce sont les multinationales qui fabriquent, brevettent et vendent les OGM aux agriculteurs. Il s’agit de plantes stĂ©riles – dont les semences doivent ĂȘtre achetĂ©es chaque annĂ©e – qui ne peuvent ĂȘtre utilisĂ©es qu’avec des herbicides, des engrais et des machines agricoles spĂ©cifiques, vendus par les mĂȘmes multinationales. L’herbicide le plus utilisĂ© jusqu’à prĂ©sent en combinaison avec des semences OGM est le glyphosate, qui Ă©tait il y a encore quelques annĂ©es sous brevet de la multinationale amĂ©ricaine Monsanto, rachetĂ©e en 2016 par Bayer. Mais cette guerre artificielle de l’homme contre la Nature a entraĂźnĂ© des rĂ©sistances inĂ©vitables, Ă  laquelle les multinationales ont remĂ©diĂ© en jumelant d’autres herbicides aux semences OGM. En avril 2021, Bayer a lancĂ© aux États-Unis le XtendFlex, un soja OGM rĂ©sistant Ă  trois herbicides le dicamba, le glyphosate et le glufosinate, en concurrence avec un produit similaire de la sociĂ©tĂ© amĂ©ricaine Corteva Agriscience. À noter que la technique OGM s’est dĂ©veloppĂ©e dans un premier temps lors du passage du capitalisme industriel au capitalisme financier Ă  la fin des annĂ©es 1970, mais aussi parallĂšlement Ă  la montĂ©e progressive des technologies de l’information, de plus en plus puissantes, Ă©galement utilisĂ©es pour les modifications gĂ©nĂ©tiques de la biotechnologie, aussi bien dans l’agriculture, que dans la mĂ©decine ou sur le corps humain. Cette combinaison d’informatique et de gĂ©nĂ©tique est au cƓur de l’intĂ©rĂȘt et des Ă©normes bĂ©nĂ©fices rĂ©alisĂ©s par les magnats des technologies numĂ©riques avec la DeuxiĂšme RĂ©volution Verte. La preuve en est que Bill Gates, le quatriĂšme homme le plus riche au monde, avec un patrimoine de 133 milliards de dollars et dĂ©tenant 500 000 actions de Monsanto, est dĂ©sormais le plus grand agriculteur » amĂ©ricain. Bill Gates a investi 700 millions de dollars et possĂšde 242 000 acres de terres soit environ 98 000 hectares dans 18 États amĂ©ricains, mĂȘme si sa Fondation Bill&Melinda Gates a connu des Ă©checs majeurs en investissant dans l’introduction d’OGM dans l’agriculture en Afrique et en Inde un exemple type de philanthropie capitaliste ! Face Ă  l’opposition mondiale grandissante envers les organismes gĂ©nĂ©tiquement modifiĂ©s, de nouveaux OGM nommĂ©s CRISPR ont Ă©tĂ© créés en utilisant la technologie d’édition gĂ©nomique. Les maĂźtres de la biotechnologie – Bill Gates en tĂȘte – tentent de faire passer cette technique de gĂ©nie gĂ©nĂ©tique comme non OGM, ce qui entraĂźnerait son exclusion de la rĂ©glementation europĂ©enne sur les OGM. Le danger est considĂ©rable en Allemagne, c’est la sociĂ©tĂ© Bayer qui est aux commandes et non le politicien en charge, et l’Italie et la France y sont favorables. Pourquoi Bill Gates, Mark Zuckerberg et Elon Musk sont-ils de plus en plus fascinĂ©s par les aliments synthĂ©tiques ? Quel paradigme agricole veulent-ils promouvoir ? Ces hommes sont sans aucun doute trĂšs intelligents et de trĂšs bons politiciens, Bill Gates encore plus que les autres. Ils exĂ©craient la politique de Trump, nĂ©gationniste du rĂ©chauffement climatique en cours, largement provoquĂ© par l’Agrobusiness et par son Agriculture Industrielle, notamment avec les Ă©missions de gaz Ă  effet de serre et de particules. Tout cela est Ă  l’origine de la pollution de l’air, issue de l’élevage intensif mais aussi de la dĂ©forestation massive rĂ©alisĂ©e pour obtenir des terres oĂč cultiver le soja et le maĂŻs, autrement dit des monocultures OGM cultivĂ©es pour le fourrage et avec une Ă©norme consommation d’eau douce. Nous avons beaucoup entendu parler de justice climatique notamment durant la prĂ©-COP 26 de Milan, et pourtant, mĂȘme les mouvements les plus avancĂ©s donnent peu de chiffres pour illustrer cette injustice. Selon moi, l’exemple le plus Ă©vident de cette injustice » est la consommation de viande par an et par habitant 120 kg aux États-Unis, environ 80 kg dans l’Union EuropĂ©enne, 60 kg en Chine, et entre 10 et 20 kg en Inde ainsi que dans la plupart des pays africains. Je me souviens que, lorsque j’étais enfant, tout de suite aprĂšs la guerre, ma mĂšre nous forçait Ă  manger souvent du steak mĂȘme si ce n’était pas le steak bien Ă©pais que l’on voyait dans la bande dessinĂ©e Tex il fallait imiter les amĂ©ricains qui avaient libĂ©rĂ© l’Italie ». RĂ©sultat la consommation de viande en Italie est passĂ©e de 16 kg par an et par habitant en 1960 Ă  75 kg aujourd’hui, bien qu’il y ait une lĂ©gĂšre tendance Ă  la baisse, en raison de l’augmentation du nombre de vĂ©gĂ©tariens et de la connaissance sur la qualitĂ© » de cette viande, peut-ĂȘtre mĂȘme stĂ©rile, mais qui est obtenue Ă  partir d’animaux nourris avec du fourrage OGM, ultra-transformĂ©e et qui regorge de rĂ©sidus chimiques et d’antibiotiques. Les gens sont beaucoup moins conscients de la grande part de responsabilitĂ© de la viande et de la nourriture industrielle sur le rĂ©chauffement climatique, y compris ces jeunes formidables qui crient avec Greta Global Justice Now ! ». La FAO estime que le secteur zootechnique connaĂźtra une croissance de 74% au cours des dix prochaines annĂ©es dans les pays Ă  faibles et moyens revenus, tandis qu’à l’échelle mondiale, le nombre d’animaux d’élevage augmentera d’environ 50% d’ici 2050. Les populations et les politiciens occidentaux ont peur que les chinois, soit 1,4 milliard de personnes, veulent manger de la viande comme en Occident, ce qui pour eux serait une injustice ! Mais Bill Gates et ses associĂ©s l’ont bien compris. Ils poursuivent leur retour avec l’Agrobusiness, les OGM et les vaccins et surfent dĂ©sormais sur l’alimentation artificielle ; ainsi, ils ne suggĂšrent pas de rĂ©duire la consommation de viande mais de produire et de consommer de la viande artificielle, comme le font les États-Unis depuis quelques annĂ©es. En 2011, l’Impossible Burger fit son apparition. Créé par l’entreprise Impossible Foods, ce produit est Ă©galement vendu dans tous les restaurants de la chaĂźne Burger King aux États-Unis soit plus de 7 000 restaurants. Les avantages ? Selon Impossible Foods, ses produits utilisent 97% moins de terres, 87% moins d’eau et Ă©mettent 89% moins de gaz Ă  effet de serre que la production de viande conventionnelle. L’entreprise assure que les propriĂ©tĂ©s nutritionnelles de ses produits sont Ă©gales ou supĂ©rieures Ă  celles des produits animaux traditionnels. Par la suite, des chercheurs ont mis au point la viande obtenue grĂące Ă  la technologie de la bio-imprimante 3D, une viande non OGM car le brevet utilise uniquement des biomatĂ©riaux, des protĂ©ines vĂ©gĂ©tales, des glucides, des vitamines et des matiĂšres grasses vĂ©gĂ©tales. Mais aujourd’hui nous sommes arrivĂ©s Ă  la clean meat », c’est-Ă -dire la viande synthĂ©tique – appelĂ©e aussi viande artificielle, viande cultivĂ©e, viande propre – issue de la prolifĂ©ration en laboratoire de cellules souches musculaires de porc, de poulet, de bƓuf, de canard, etc. qui sont placĂ©es dans une enceinte spĂ©ciale biorĂ©acteur contenant un substrat liquide de culture en gĂ©nĂ©ral un sĂ©rum de sang de fƓtus ou une solution synthĂ©tique de substances chimiques pour obtenir une composition semblable au sĂ©rum, afin de faire dĂ©velopper les cellules jusqu’à former un tissu musculaire. Cette lutte contre la consommation de viande et contre les Ă©levages intensifs Ă  Ă©tĂ© bĂ©ni par Bill Gates le 14 fĂ©vrier 2021, lors d’une dĂ©claration qui a fait l’effet d’une bombe dans le magazine MIT Tech Review. Selon le multimilliardaire amĂ©ricain les pays riches devraient rapidement arriver Ă  consommer uniquement de la viande produite Ă  100% en laboratoire. De cette façon, nous pourrions rĂ©duire les Ă©missions de gaz Ă  effet de serre, produites en trĂšs grandes quantitĂ©s par les bovins durant le processus de digestion. Et, une autre chose non nĂ©gligeable, nous pourrions arrĂȘter de torturer et de tuer les animaux ». Le 22 septembre dernier, l’acteur oscarisĂ© Leonardo Dicaprio a rejoint en tant que conseiller et investisseur Aleph Farms et Mosa Meat, deux entreprises leader dans l’industrie naissante de la viande de bƓuf cultivĂ©e, produite directement Ă  partir de cellules animales. AprĂšs la viande, les entreprises investissent dĂ©sormais dans la production de miel, de blancs d’Ɠuf et de lait en laboratoire. Nombreux sont ceux qui travaillent pour obtenir du miel sans abeilles, du lait sans vaches et des Ɠufs sans poules. Paradoxalement, aprĂšs avoir massacrĂ© les abeilles avec les nĂ©onicotinoĂŻdes et d’autres insecticides utilisĂ©s massivement dans l’agriculture, on nous propose dĂ©sormais ces nouveaux systĂšmes industriels qui n’ont rien de rationnel si ce n’est le profit de ces magnats. D’un point de vue environnemental et nutritionnel, la nourriture synthĂ©tique est-elle vraiment si durable » ? Il s’agit de rĂ©alitĂ©s minoritaires et expĂ©rimentales, qui ne rĂ©pondent pas Ă  l’urgence de renverser le rĂ©chauffement climatique en seulement quelques annĂ©es, avec comme consĂ©quences les sĂ©cheresses, les phĂ©nomĂšnes extrĂȘmes, les inondations, les incendies et les migrations climatiques prĂ©vues pour des centaines de millions de personnes. Une autre donnĂ©e est peu Ă©voquĂ©e par les jeunes du Fridays For Future concernant la Justice Climatique Ă  savoir les Ă©missions de CO2 par personne les 320 millions de citoyens amĂ©ricains Ă©mettent 14,61 tonnes par habitant, et les chinois, environ 1,4 milliard de personnes Ă©mettent 6,68 tonnes par habitant. Quant aux indiens, avec une population lĂ©gĂšrement infĂ©rieure aux chinois, ils Ă©mettent 1,61 tonne par habitant ! Ces donnĂ©es remontent Ă  2017 mais les chiffres les plus rĂ©cents montrent que la situation n’a pas vraiment changĂ© puisque les États-Unis Ă©mettent encore deux fois plus de C02 par habitant que les chinois. Et pourtant, les journaux mettent en avant des grands titres tels que la Chine Ă©met plus de gaz Ă  effet de serre que les États-Unis ». Alors tous les hommes ont-ils vraiment les mĂȘmes droits et les mĂȘmes devoirs ? N’est-il pas normal que ceux qui consomment le plus et qui Ă©mettent la plupart des gaz Ă  effet de serre depuis ces 50 derniĂšres annĂ©es commencent Ă  rĂ©duire considĂ©rablement leurs Ă©missions ? Les partisans de l’alimentation synthĂ©tique prĂ©tendent qu’il s’agit d’une vĂ©ritable solution au changement climatique, en mesure de rĂ©soudre les dĂ©gĂąts Ă©cologiques et le problĂšme du bien-ĂȘtre animal. NĂ©anmoins, des Ă©tudes rĂ©centes dĂ©montrent que ce n’est pas aussi simple. En effet, la production de nourriture synthĂ©tique a une empreinte carbone plus Ă©levĂ©e que les protĂ©ines vĂ©gĂ©tales moins transformĂ©es[1], alors que les substituts vĂ©gĂ©taux sont jusqu’à 7 fois plus intensifs dans l’émission de gaz Ă  effet de serre par rapport aux lĂ©gumes entiers. La viande Ă  base cellulaire Ă©met plus de gaz Ă  effet de serre que les produits d’origine animale, comme la viande de porc ou la volaille et de nouvelles recherches donnent Ă  penser que sur le long terme, l’impact environnemental de la viande cultivĂ©e en laboratoire pourrait ĂȘtre supĂ©rieur Ă  l’impact du bĂ©tail [2]. Concernant la qualitĂ© nutritive de la nourriture synthĂ©tique, je dirai simplement que la qualitĂ© sera certainement stĂ©rile, mais ce n’est pas le seul Ă©lĂ©ment Ă  prendre en compte pour une alimentation correcte, saine et durable. Les aliments doivent ĂȘtre synonymes de qualitĂ© et de vie, ĂȘtre organiques pour ĂȘtre mĂ©tabolisĂ©s dans notre organisme, qui vit en symbiose, dans l’intestin de chacun de nous, avec un kilo et demi de virus et de bactĂ©ries la flore intestinale, dĂ©fini rĂ©cemment comme notre deuxiĂšme cerveau. Par ailleurs, les aliments synthĂ©tiques sont toujours ultra-transformĂ©s, conservĂ©s et transportĂ©s Ă  distance ils restent malgrĂ© tout des aliments industriels. [1] Santo, Raychel E., et al. Considering Plant-Based Meat Substitutes and Cell-Based Meats A Public Health and Food Systems Perspective’. Frontiers in Sustainable Food Systems, vol. 4, Aug. 2020, p. 134. [2] Muraille, Eric. “Cultured” Meat Could Create More Problems than It Solves’. The Conversation, Nov. 28, 2019. Traduit de l’italien par ClĂ©mence Berger ï»żAprĂšs avoir lu cet article, vous apprendrez - 1. L’ importance de l’alimentation du bĂ©tail 2. Aliments et fourrages destinĂ©s au bĂ©tail 3. QualitĂ© de l’ alimentation 4. Normes ou exigences relatives Ă  l’ alimentation 5. Aliments concentrĂ©s 6. Cultures fourragĂšres 7. Fourrages secs 8. Prairies, Arbres et de l'alimentation du bĂ©tail Aliments et fourrages destinĂ©s Ă  l'alimentation du bĂ©tail QualitĂ© des aliments du bĂ©tail Normes d'alimentation ou exigences relatives au bĂ©tail Aliment concentrĂ© pour bĂ©tail Cultures fourragĂšres de bĂ©tail Fourrages secs de bĂ©tail Prairies, arbres et arbustes utilisĂ©s pour l'alimentation du bĂ©tail 1. Importance de l'alimentation du bĂ©tail Les agriculteurs Ă©lĂšvent le bĂ©tail pour obtenir du lait, de la viande, de la laine, du travail, etc. Les aliments sont la source de production pour tous ces produits, ainsi que pour la production de progĂ©nitures. De plus, une ration Ă©quilibrĂ©e sur le plan nutritionnel est indispensable pour maintenir les animaux en bonne santĂ© et forts. Notez que nous appelons nourriture» ce que nous mangeons. La mĂȘme chose est appelĂ©e ration» dans le cas des nourriture appropriĂ©e, Ration, les animaux ne peuvent pas bien grandir, ne peuvent pas rester en bonne santĂ© et ne peuvent pas non plus produire correctement des produits et des jeunes. C'est pourquoi nous devons nourrir les animaux avec des rations Ă©quilibrĂ©es et suffisantes sur le plan nutritionnel. D'oĂč la nĂ©cessitĂ© de nourrir le bĂ©tail de maniĂšre scientifique en fonction de ses besoins corporels. 2. Aliments et fourrages destinĂ©s Ă  l'alimentation du bĂ©tail Les aliments utilisĂ©s pour nourrir le bĂ©tail peuvent ĂȘtre classĂ©s en trois classes principales en fonction de la teneur en fibres, de l'humiditĂ© et des Ă©lĂ©ments nutritifs, Ă  savoira fourrages ou fourrages verts ou succulents;b Fourrages secs ou fourrages; etc aliments fourrages verts et secs sont Ă©galement appelĂ©s aliments en vrac ou fourrage grossier, car ils sont volumineux en raison de leur teneur Ă©levĂ©e en fibres. Ils contiennent moins d'Ă©lĂ©ments nutritifs par unitĂ© de poids. Leur classement est donnĂ© ci-dessous. Par aliments et fourrages cultivĂ©s, nous entendons tous les produits principaux et dĂ©rivĂ©s obtenus par la mise en culture de cultures par les agriculteurs, quelle que soit leur qualitĂ© vĂ©gĂ©tation naturelle est celle qui se produit dans la nature mĂȘme sans effort humain. D'autre part, certains nutriments sont ajoutĂ©s aux aliments pour animaux ou ajoutĂ©s Ă  la ration pour fournir des nutriments spĂ©cifiques ou un groupe de est fait pour fournir des nutriments importants de haute valeur en petites quantitĂ©s. En raison de la diminution constante des aliments pour le bĂ©tail dans le pays, de nombreux aliments non conventionnels allant des feuilles d’arbres aux algues ont Ă©tĂ© de plus en plus recommandĂ©s comme aliments pour animaux, en particulier en pĂ©riode de pĂ©nurie. 3. QualitĂ© des aliments du bĂ©tail La valeur nutritive d'un aliment est dĂ©terminĂ©e en analysant la quantitĂ© de divers nutriments qu'il contient, qui seront disponibles pour l'animal Ă  des fins de maintenance, de croissance et / ou de production. Cela doit ĂȘtre dĂ©terminĂ© en ce qui concerne l'Ă©nergie, les protĂ©ines, les minĂ©raux et les vitamines. La mĂ©thode la plus simple et la plus ancienne pour dĂ©terminer la valeur nutritive des aliments consistait Ă  estimer la composition de l’aliment en divers a rapidement Ă©tĂ© constatĂ© que de grandes quantitĂ©s d'Ă©lĂ©ments nutritifs sont perdus dans les fĂšces et que la valeur nutritive d'un aliment est jugĂ©e avec plus de prĂ©cision lorsque les Ă©lĂ©ments nutritifs digestibles sont pris en compte. En consĂ©quence, les techniques d’essai d’alimentation et d’essai de digestibilitĂ© ont Ă©tĂ© mises au essais de digestibilitĂ© ont Ă©tĂ© menĂ©s dans le monde entier pour dĂ©terminer les nutriments digestibles contenus dans divers aliments du bĂ©tail pour toutes les diffĂ©rentes espĂšces et catĂ©gories de bĂ©tail, dans des conditions et des activitĂ©s diffĂ©rentes. La valeur nutritive ProtĂ©ines brutes digestibles - DCP et Total Digestible Nutrients - TDN des aliments du bĂ©tail courants disponibles en Inde est prĂ©sentĂ©e dans le tableau 15. 4. Normes ou exigences alimentaires du bĂ©tail Les normes d'alimentation sont des dĂ©clarations des besoins nutritionnels moyens moyens de diffĂ©rents types d'animaux. Les scientifiques sont venus en aide aux agriculteurs en fournissant certaines directives pour la sĂ©lection de rations bien Ă©quilibrĂ©es afin de rĂ©pondre aux besoins en nutriments de divers types et classes de recommandations ont Ă©tĂ© collectĂ©es, classĂ©es, totalisĂ©es et rĂ©visĂ©es de temps Ă  autre et sont dĂ©sormais connues sous le nom de normes d'alimentation. Ainsi, les normes d'alimentation sont des tableaux indiquant la quantitĂ© de divers Ă©lĂ©ments nutritifs qui devraient ĂȘtre prĂ©sents dans la ration journaliĂšre de diffĂ©rentes classes d'animaux pour des rĂ©sultats optimaux en termes de croissance, de travail et de travaux dans le domaine de la valeur nutritive et des besoins en Ă©lĂ©ments nutritifs sont toujours en cours et, par consĂ©quent, toute norme d'alimentation deviendra obsolĂšte dans quelques annĂ©es. Par consĂ©quent, on s'est rendu compte que ces normes devaient ĂȘtre rĂ©visĂ©es toutes les quelques annĂ©es pour les mettre Ă  jour en dĂ©crivant une ration nutritionnellement nutritionnistes indiens renommĂ©s ont publiĂ© une norme d'alimentation pour les animaux indiens, qui a Ă©tĂ© publiĂ©e par le Conseil indien de la recherche agronomique sous la forme d'un bulletin n ° 25. Ces tableaux et les normes NRC États-Unis, ainsi que d’autres normes relatives aux besoins en Ă©lĂ©ments nutritifs de diffĂ©rentes catĂ©gories de bĂ©tail, sont prĂ©sentĂ©s dans les tableaux 16 Ă  premiĂšre considĂ©ration dans les normes d'alimentation devrait ĂȘtre la capacitĂ© de l'animal Ă  consommer des aliments. La matiĂšre sĂšche totale de la ration journaliĂšre, qui pourrait ĂȘtre mangĂ©e par l'animal, en donne la mesure. Habituellement, l'apport en matiĂšre sĂšche est proportionnel au poids bovins consomment gĂ©nĂ©ralement entre 2, 0 et 2, 5 kg de matiĂšre sĂšche pour 100 kg de poids vif. Les buffles mangent un peu plus que cela. En rĂšgle gĂ©nĂ©rale, les deux tiers des nutriments doivent provenir de fibres de fourrage et un tiers de avoir dĂ©terminĂ© le besoin en matiĂšre sĂšche, l'Ă©tape suivante consiste Ă  dĂ©terminer le besoin en Ă©lĂ©ments nutritifs indĂ©pendants. À cet Ă©gard, la principale considĂ©ration concerne les besoins des protĂ©ines brutes digestibles DCP et des nutriments digestibles totaux TDN. 5. Aliments concentrĂ©s pour le bĂ©tail On entend par aliment concentrĂ© un mĂ©lange de cĂ©rĂ©ales moulues, de lĂ©gumineuses, de tourteaux, etc. Le tableau 23 ci-dessous contient un ensemble de formules permettant de prĂ©parer des mĂ©langes d’aliments contenant des ingrĂ©dients disponibles dans diffĂ©rentes rĂ©gions du pays. Les agriculteurs peuvent utiliser ces formules prĂȘtes Ă  l'emploi pour prĂ©parer eux-mĂȘmes les mĂ©langes concentrĂ©s. Les valeurs indiquĂ©es dans le tableau 23 sont basĂ©es sur la matiĂšre premiĂšre, c'est-Ă -dire le poids des aliments pour animaux, tels qu'ils sont normalement teneur moyenne en matiĂšre sĂšche dans les aliments pour animaux peut ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme suit 6. Cultures fourragĂšres destinĂ©es Ă  l'alimentation du bĂ©tail Fourrages LĂ©gumineux Les lĂ©gumineuses fourragĂšres tige et feuilles constituent un groupe de plantes appartenant au groupe des lĂ©gumineuses. En raison de la prĂ©sence de bactĂ©ries du groupe du rhizobium dans leurs nodules racinaires, ces plantes fixent» l'azote de l'atmosphĂšre et le mettent Ă  la disposition des autres plantes, des animaux et de l' ont toujours une teneur en azote plus Ă©levĂ©e et peuvent constituer une source majeure de protĂ©ines pour les animaux d'Ă©levage. Pour les bovins et les buffles, si les lĂ©gumineuses sont largement nourries, aucun apport supplĂ©mentaire en protĂ©ines n'est les cultures fourragĂšres lĂ©gumineuses importantes figurent les vĂ©ritables trĂšfles espĂšces de Trifolium. Medics . Medicago espĂšces, Crotalaria et certaines autres lĂ©gumineuses diverses. Les trĂšfles vĂ©ritables utiles comme cultures fourragĂšres sont Berseem Trifolium alexandrinum, Shaftal T. resupinatum, le trĂšfle blanc T. repens, le trĂšfle rouge T. pratense et le trĂšfle cramoisi T. incarnatum et le trĂšfle souterrain T. subterranean. .Parmi les mĂ©dicaments, la luzerne Medicago sativa est la culture fourragĂšre la plus populaire. Le medic noir M. lupulina et le trĂšfle noir M. hispida sont d'autres membres de l'utilitĂ© comme groupe Crotalaria comprend un grand nombre d'espĂšces utiles pour la recherche de nourriture, telles que Sunhemp Crotalaria junica, NiĂ©bĂ© ou Lobia Vigna sinensis et Kudzu Pueraris thunbergiana. Certaines autres lĂ©gumineuses, telles que le soja Glycene soya, jouent Ă©galement un rĂŽle important dans l'alimentation du non lĂ©gumineuses Le fourrage non lĂ©gumineux comprend gĂ©nĂ©ralement un pourcentage moins Ă©levĂ© d’azote. Par consĂ©quent, lorsque le bĂ©tail reçoit du fourrage non lĂ©gumineux, il faut veiller Ă  ajouter suffisamment de concentrĂ©s riches en protĂ©ines pour Ă©quilibrer la ration. Ils comprennent de nombreuses cultures fourragĂšres de cĂ©rĂ©ales, des herbes cultivĂ©es pĂ©rennes, certaines herbes indigĂšnes et des herbes Importantes cultures cĂ©rĂ©aliĂšres utilisĂ©es comme fourrageMaĂŻs Zea mays, sorgho Sorghum vulgare, Bajra Pennisetum typhoides, avoine Avena sativa et Teosinte Euchlaena mexicana.2. Cultures fourragĂšres vivaces importantes utilisĂ©es comme fourragePara grass .Brachiana mutica, Dinde Panicum maximum, Napier Pennisetum purpureum, Hybrid gĂ©ant Napier croisement interspĂ©cifique entre Napier et Bajra, Dindonnie Chloris gayana, Hybride gĂ©ant, Napier croisement interspĂ©cifique entre Napier et Bajra, Dindonnerre Chloris gayana, Dindon bleu et l’herbe du Soudan Sorghum vulgare var Sudanense.3. Certaines herbes indigĂšnes qui constituent le fourrage traditionnel du bĂ©tail et qui peuvent ĂȘtre dĂ©veloppĂ©es sont l’herbe Anjan / l’herbe Kolukattain Cenchrus celiaris, l’herbe Dhub / Hariali Cynodon dactylon, l’herbe gĂ©ante Cynodon plectostachyus, l’herbe Marval Dichanthium annulatum, Herbe de Sewan Elyomirus hirsatus et herbe de Masel . Isilema laxum.4. Certaines graminĂ©es introduites de l'herbe Deenabandhu Pennisetum pedicellatum, de l'herbe des vergers Dactylis glomerata, de l'herbe des champs Brachiaria brizantha et de la fĂ©tuque des prĂ©s .Festuca elatior ont Ă©tĂ© introduites en de fourrage Le systĂšme de production de fourrage varie d'une rĂ©gion Ă  l'autre, d'un endroit Ă  l'autre et d'un agriculteur Ă  l'autre, en fonction de la disponibilitĂ© en eau principalement et d'autres intrants tels que les engrais, les insecticides, les pesticides, etc. et la systĂšme fourrager idĂ©al est celui qui donne le maximum de nutriments digestibles par hectare, ou le maximum de produits de l'Ă©levage Ă  partir d'une unitĂ© de surface. Il devrait Ă©galement garantir la disponibilitĂ© de fourrages succulents, appĂ©tissants et nutritifs tout au long de l' tableau 24 indique les rotations culturales recommandĂ©es pour chaque rĂ©gion ou 2 ou 3 rang par rang. L'agriculteur peut choisir l'une ou l'autre, deux ou trois des cultures Ă©numĂ©rĂ©es dans chaque rotation des cultures, en fonction des conditions de son combinaison de cultures semĂ©e au cours d'une saison suivie de la deuxiĂšme combinaison aprĂšs la rĂ©colte de la culture prĂ©cĂ©dente. De plus, vous pouvez choisir l’une des 2 ou 3 rotations de cultures recommandĂ©es, en fonction des conditions de votre programme de culture fourragĂšre ci-dessus et le programme d'alimentation du bĂ©tail doivent ĂȘtre synchronisĂ©s, c'est-Ă -dire aller de pair. En effet, l’alimentation Ă  base de fourrage vert est la mĂ©thode la plus Ă©conomique et le fourrage doit ĂȘtre disponible toute l’annĂ©e. Les dĂ©tails des rotations culturales et des pratiques culturales pour les cultures fourragĂšres dans diffĂ©rentes rĂ©gions sont donnĂ©s devraient ĂȘtre utiles pour comprendre les mĂ©thodes de culture du fourrage. Notez que les fourrages sont plus prĂ©cieux quand ils sont raisonnablement jeunes. Au fur et Ă  mesure de leur maturation, ils deviennent lignifiĂ©s et lignifiĂ©s, ce qui entraĂźne une rĂ©duction de la digestibilitĂ© des part, une rĂ©colte trop prĂ©coce rĂ©duira le rendement et rendra la culture aqueuse. Par consĂ©quent, un mĂ©dia via doit ĂȘtre frappĂ©. GĂ©nĂ©ralement, au stade de la floraison, le rendement en Ă©lĂ©ments nutritifs digestibles est maximal et les fourrages doivent ĂȘtre rĂ©coltĂ©s Ă  ce stade. 7. Fourrages secs destinĂ©s Ă  l'alimentation du bĂ©tail Les fourrages secs contiennent plus de 85% de matiĂšre sĂšche, soit moins de 15% ou moins d'humiditĂ©. Ils sont trĂšs fibreux, volumineux et moins digestibles. Ils aident principalement Ă  remplir les larges voies digestives des ruminants. Ce sont principalement des sous-produits de cultures Ă©numĂ©rĂ©s dans le tableau 25. 8. Prairies, arbres et arbustes utilisĂ©s pour l'alimentation du bĂ©tail Les prairies sont celles qui sont couvertes d’herbes et d’autres plantes comestibles de la localitĂ© pouvant servir au pĂąturage du bĂ©tail. Bien que les herbes poussent naturellement en saison, les agriculteurs peuvent Ă©galement rĂ©ensemencer et dĂ©velopper les prairies. Nous n'avons pas de pĂąturages spĂ©cifiques prairies cultivĂ©es pour le bĂ©tail comme dans les pays le pĂąturage reste la pratique la plus courante et la plus traditionnelle d’alimentation du bĂ©tail en Inde. Zones forestiĂšres; terres villageoises communes; les remblais des riviĂšres, des canaux et des Ă©tangs; diguettes de champs cultivĂ©s; les pentes des collines; et les terres en jachĂšre sont utilisĂ©es comme pĂąturages. La qualitĂ© des prairies en Inde varie considĂ©rablement en ce qui concerne leur Ă©cologie. Les principaux types de prairies observĂ©s dans diverses rĂ©gions du pays sont Ă©numĂ©rĂ©s au tableau noter qu'en gĂ©nĂ©ral, la qualitĂ© des pĂąturages en termes d'utilitĂ© pour le bĂ©tail est la meilleure dans la rĂ©gion E et raisonnablement bonne dans la rĂ©gion qualitĂ© se dĂ©tĂ©riore de la rĂ©gion C Ă  A, elle est plus saisonniĂšre, dĂ©pendante de la pluie et Ă©galement soumise au surpĂąturage. Un temps Ă©quilibrĂ© et une pression de pĂąturage sont la clĂ© de tout systĂšme de gestion de pĂąturage - attendez seulement jusqu'Ă  ce que les bourgeons axillaires principaux sur les couronnes des plantes se dĂ©veloppent en talles latĂ©rales, augmentant ainsi l'Ă©paisseur de la bande.

on y met la nourriture du betail